Metastasio. Nè fe tranquilla fei Io lafcio un' incoftante; So, che un fi fido amante Cle Clement Marot. E. B. II. S. 24. Auch in seinen Liedern ist sehr viel Natur und Naivetät, ob ihnen gleich der leichte mu fikalische Gang fehlt, dessen die spätern Liederdichter der Franzosen so sehr Meister wurden. Puisque de vous je n'ai autre visage, Adieu Amour, adieu gentil corfage, Clement Nias rot. Melin de St. Gelais. Melin de Saint Gelais. S. B. II. S. 25. Die meisten Lieder von ihm find vielmehr Madrigale, und es fehlt ihnen nicht an Feinheit der Empfindung und anmuthiger Treuherzigkeit des Ausdrucks. Folgendes verdient, der artigen Wendung wegen, hier eine Stelle: Soupirs ardens, parcelles de mon ame, Qui de mon deuil feuls la caufe entendez, Si vous voyez ma fin plaire à ma Dame, Volez au ciel, et là haut m' attendez : Mais fi fon oeil, comme vous pretendez, De quelque efpoir nous daigne fecourir, Tournez à moi et l' éfprit me rendez; n'aurai plus volonté de mourir, Lainez. Lainez. - S. B. II. S. 66. Er gehört unter die angenehme ften französischen Dichter in der leichten, gesellschaftlichen Gattung. Man hat nur wenige, aber größtentheils schåk? bare, kleine Stücke von ihm, die er selbst nie aufschrieb, søndern blos aus dem Gedächtniß hersagte. Ebenso wenig,' achtete er auf die Früchte seiner weitläuftigen und mannichfaltigen Gelehrsamkeit. PRINTEM S. 1 Que tout refleuriffe LES PRESSOIRS DE CHAMPAGNE. La Fable, entre mille plaifirs, Et mille flots badins conduits par des Zéphyrs, A l' afpect des preffoirs que fa liqueur inonde, Chau Chaulieu. S. von ihm B. III. unter den Verfassern poctischer Briefe. Mehr, als seine Oden, glückte ihm die leichtere Gattung der Madrigale und Chansons. STANCES. Que de chagrins, de tourmens et d'alarmes, Ingrate Iris, tes rigueurs m' ont couté! Tu me jurois une amour éternelle, Ce beau Berger, à qui tu veux tant plaire, Tes faux fermens, ni tes trompeufes larmes CHANSON. Vous êtes fille de l' Amour, Cruelle Jaloufie! Mais, hélas! vos foupçons font languir nuit et jour, Sitôt que l'ame en eft faifie. Sans Chaulieu. Chaulieu, La fare, Sans vos foins ennuyeux pere Et vous en avez mille, AUTRE. Mon Iris m'est toujours fidéle, Nous fommes l'un et l'autre également contens; Je n'ai lieu de me plaindre d' elle, Cependant cela feul fait toutes nos querelles; S'échaper malgré nous nos ardeurs mutuelles? La Fare. Gewöhnlich sind die leichten und angenehmen Verse des Marquis Charles Auguste de la fare, der in fran zösischen Kriegsdiensten war, und im J. 1712 starb, ein Anhang der Gedichte des Abts Chaulieu, dessen vertrauter Freund er war. Erst in seinem sechszigsten Lebensjahre soll sich seine, noch sehr jugendliche, poetische Ader geöffnet haben. CHANSON. En vain je bois pour calmer mes allarmes, Pour man Iris; Le Vin me fait oublier fes mépris, Et m'entretient feulement de fes charmes, Mon. |