La mythologie et les fables expliquées par l'histoire, 第 2 卷Briasson, 1738 |
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常見字詞
affez ainfi ainſi Anciens Apollon auffi Auteur avoient avoit Bacchus c'eft c'eſt c'étoit caufe Cerès chofe Ciceron confacré confervé confulter croyoit culte Cybele Déeffe Diane Dieu Dieux difent differentes Diodore de Sicile dire Divinités Druydes Egyptiens enfans enfuite eſt étoient étoit étoit fils fable facré facrifices faifoient faifoit fans doute fçait fçavant fecond felon fentiment fervir fête feulement fignifie fille fleuve foin foit fon nom fon pere font fous le nom fouvent ftatue fuite fuivant fujet fur-tout fymboles Gaules Gaulois Geants Grecs Hefiode Hercule Hiftoire Homere hommes Ifle Infcription jufqu'à Junon Jupiter l'avoit l'Hiftoire l'Ifle l'Ocean Lactance Macrobe maniere Mercure Minerve monumens myfteres n'eft Neptune nommé Ovide paffer parler paroît Paufanias perfonne Peuples Pheniciens plufieurs Plutarque Pluton Poëtes portoit prefque premiere Prince Proferpine puifque raifon rapport reçû refpect refte Religion Romains Saturne Soleil Strabon Temple terre Titans troifiéme Varron venoit Virgile Vulcain
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第 8 頁 - Jupiter fit prendre à fon père Saturne un breuvage qui lui fit vomir , premièrement la pierre qu'il avoit avalée , & enfuite tous fes enfans qu'il avoit dévorés. Quelque tems après que Jupiter eut avalé...
第 70 頁 - Il confeilla à Jupiter de faire faire une ftatue de bois , de l'habiller -en femme , de la mettre fur un chariot attelé d'une paire de .bœufs que l'on traîneroit par la ville, & de répandre dans le public que c'étoit Platea , la fille d'Afopus > qu'il alloit épouier : foa confeil fut fuivi.
第 415 頁 - Là comparoit un Prince dès qu'il a rendu le dernier foupir , dépouillé de toute fa grandeur , réduit à lui feul , fans défenfe & fans protection , muet & tremblant pour lui-même après avoir fait trembler toute la terre. S'il eft trouvé coupable de crimes qui foient d'un genre »à pouvoir être expiés , il eft relégué dans le Tartare pour un tems feulement , & avec aflurance d'en fortir quand il aura été fufHfamment purifié.
第 174 頁 - D'abord , on appelloit les trois Déeffes Chantes , nom dérivé d'un mot Grec qui veut dire joie, pour marquer que nous devons également nous faire un plaifir , ôc de rendre de bons offices , & de reconnoître ceux qu'on nous rend. Elles étoient jeunes , pour nous apprendre que la mémoire d'un bienfait ne doit jamais vieillir. Vives & légères , pour faire connoître qu'il faut obliger promptement , & qu'un bienfait ne doit point fe faire attendre...
第 102 頁 - Les lieux maritimes étant, échus par le » fort à Atlas , ce Prince donna fon nom aux Atlantes fes » fujets , & à la plus haute montagne de fon pays. On dit » qu'il excelloit dans l'Aftrolqgie , ôc que ce fut lui qui le •> premier reprefenta le monde par une fphere. C'eft pour cet...
第 218 頁 - Roi , réfolu de fatisfaire la iîenne , pourfuit vivement cette jeune Nymphe , qui , pour ne pas tomber entre fes mains , prit le parti de chercher un afyle dans le temple de Diane. Mais, que peut la crainte fur le cœur des tyrans ? Arriphé fut violée au pied des autels.
第 47 頁 - Telchinés ; d'autres dans la Samothrace. Une partie vint dans l'Eubée , où avant la découverte du fer ils travailloient en cuivre, dans une ville qui , pour cette raifon , fut nommée Chalcis. Il y en eut qui allèrent à Imbros , d'autres à Lemnos , où ils trouvèrent des forges établies; enfin , un grand nombre s'établit dans l'Étoiie & dans l'Acarnanie.
第 81 頁 - ... par-tout où elle alloit. Un jour que les dames d'Athènes dévoient célébrer fur le bord de la mer la fête de Gérés , où fa...
第 478 頁 - Mars , fut père d'Ixion & de la nymphe Coronis. Nous trouvons Phlégyas dans le Tartare , où il eft dans une continuelle appréhenfion de la chute d'un rocher qui lui pend fur la tête. Son crime fut d'avoir fait brûler le temple d'Apollon de Delphes , parce qu'il crut que ce Dieu avoit débauché fa fille ; apparemment que quelque prêtre qui en étoit devenuamoureux, avoit pris l'habit & l'équipage de ce Dieu.
第 225 頁 - Enfin la mère arrive , qui, outrée de douleur & de défefpoir , arrofe de fes larmes les corps de fes enfans, &: eft enfin changée en Rocher, Et on avouera que fi la Fable donne de grands ornemens à la vérité , la découverte de cette même vérité donne encore plus de plaifir à l'efprit , que ces vains ornetnens n'en donnent à l'imagination.