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FRANCS (see p. 63). | Cinq grammes d'argent, au titre de 9 dixièmes

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[NOTE. As previously mentioned, page 381, accounts are kept in France in francs, each of 10 décimes or 100 centimes. The modern gold coins are pieces of 40 fr. and 20 fr. The silver coins are 5 fr., 2, 1, and † fr. The copper coins are 1 décime, or 2 sous, pieces of 5 centimes, or 1 sou, and of 1 centime.]

* Or about 2 pounds 3 ounces and 5 drams avoirdupois.

† L'étalon prototype en platine, déposé aux Archives le 4 messidor an vii, donne, dans le vide, le poids légal du kilogramme.

NOTE. In France the thermometers in use are Réaumur's and the Centigrade, in both of which the freezing point of water is the zero of the scale; and the distance between the freezing and boiling points is in Réaumur's divided into 80 equal parts, and in the centigrade into 100.

The zero point of Fahrenheit's (the thermometer used in England) is 32 degrees below the freezing point of water, and, since the boiling point is 212, the interval is divided into 180 equal parts.

We have then the following proportion, which will enable us to reduce one of these scales to another:

F-32: C° : R° :: 180: 100: 80
or 9: 5: 4

F° - 32, C°, R°, being supposed to indicate the same temperature in the three thermometers.

See NOTE 549, page 384.

§ Franc, du latin Franci, nom du peuple tudesque qui asservit la Gaule.

549. NOTE. It will be perceived by the above table that the terms used in the French metrical system are five principal, with four to express increase and five to express decrease.

The five principal are, for long and square measure, the mètre, from the Greek word μérpov (metron), measure; for land measure, the are, from the Latin word area*, a field; for wood, the stère, from the Greek word σrepeòs (stereos), solid; for measure of capacity, the litre, from the Greek word Airpa (litra), a pound weight; and for weights, the gramme, from the Greek word ypaμμápiov (grammarion), the 24th part of the ounce among the ancients.

The four terms which express increase are―

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The names of all weights and measures are formed by a union of one of the principal terms (mètre, are, stère, litre or gramme) with one of increase or decrease. Kilogramme, for example, is kilo (1000fold) and gramme, and signifies 1000 grammes. Décimètre is deci (the 10th part) and mètre, and signifies the tenth part of a metre. Décamètre is deca (tenfold) and mètre, and signifies ten metres, etc.

With great ingenuity the contrivers of the French system of weights and measures took from the Greek language the terms deca, hecto, kilo and myria to express increase, and from the Latin the corresponding terms deci, centi, and milli to express decrease.

MODÈLES DE LETTRES.

Les principales formes à observer dans une lettre sont :— 1° L'adresse:

Monsieur,

Monsieur Charles D *** †,

Hôtel Meurice,

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* From which are derived the French word aire, and the English word area. Or simply: A monsieur Charles D ***, etc., without the repetition of Monsieur.

3° La souscription :

J'ai l'honneur d'être,

Monsieur,

Votre très-humble et très-obéissant serviteur,
Gaultier Legendre.

Les billets s'écrivent souvent à la troisième personne :

M. et Mme Duval ont l'honneur de faire leurs compliments à mademoiselle Lepelletier et de la prier de vouloir bien augmenter le petit nombre d'amis qu'ils réuniront chez eux à dîner, mercredi prochain. On se mettra à table à six heures.

Boulevard des Italiens, No. 15,

le 2 octobre 1844.

Melle Lepelletier présente ses respectueux hommages à monsieur et à madame Duval, et elle ne manquera pas de se rendre à leur aimable invitation.

Place Vendôme, No. 1,

Lundi soir.

CORRESPONDANCE COMMERCIALE.

Lettre de recommandation en faveur d'un jeune homme qui cherche une place de commis.

Paris, le 20 juillet 1839.

Monsieur Dupuis, négociant à Bordeaux.

Monsieur Richard Delsert, qui depuis six ans a travaillé dans notre comptoir à notre entière satisfaction, aura l'honneur de vous remettre la présente lettre.

Le désir d'étendre ses connaissances a seul pu l'engager à quitter notre maison, et à chercher une place dans votre ville, où il veut se familiariser avec le commerce maritime. Loin de nous opposer à ses désirs, nous nous faisons un plaisir, et même un devoir, de contribuer autant qu'il est en nous à lui faire atteindre son but.

Nous pouvons lui rendre le témoignage, que nous perdons en lui un homme qui s'est acquis notre attachement tant par un esprit distingué que par son zèle pour nos intérêts, et par la conduite la plus irréprochable.

Ses talents le rendent particulièrement propre à la correspondance: il joint à une belle écriture, un style épistolaire élégant et correct. Outre sa langue maternelle, le français, qu'il possède parfaitement, il parle et écrit avec beaucoup de facilité l'allemand et l'anglais. Il est très-habile dans la tenue des livres, et n'est pas sans connaissances dans la partie des

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marchandises. S'il vous était possible de l'employer dans votre comptoir, il trouverait non-seulement une place conforme à ses désirs, mais encore des chefs qui, nous en sommes sûrs, lui accorderaient leur bienveillance.

Tout ce que vous voudrez bien faire en faveur de notre recommandé, nous le regarderons comme une marque de votre amitié pour nous, et vous en serons vivement reconnaissants. Agréez, monsieur, l'assurance de notre considération trèsdistinguée.

Eugène Morel et comp.

Lettre de recommandation en faveur du chef d'un institut commercial.

Strasbourg, le 18 mars 1844.

Messieurs Bachelier, négociants à Marseille.

La présente lettre vous sera remise par monsieur Lefèvre, chef d'un institut commercial qu'il a créé dans notre ville.

Accompagné de ses élèves, il se rend dans vos contrées, tant pour leur procurer un délassement salutaire que pour ajouter à leurs connaissances en leur faisant visiter les établissements intéressants de votre ville et des environs.

Permettez-nous de vous recommander M. Lefèvre d'une manière toute particulière, et de vous prier de contribuer, en ce qui dépendra de vous, messieurs, à l'agrément et à l'utilité de son voyage. Son but nous paraît trop utile pour que nous ne désirions pas vivement qu'il puisse l'atteindre. Nous avons donc pensé ne pouvoir mieux lui aider qu'en vous l'adressant, en appelant sur lui tout votre intérêt.

Cet intérêt, nous le réclamons aussi pour son établissement: le talent avec lequel il le dirige, et la méthode à la fois neuve et facile qu'il suit, ont fait faire à tous ses élèves des progrès aussi sûrs que rapides.

Si donc l'occasion se présentait de favoriser son entreprise, vous nous obligeriez beaucoup en y songeant.

Veuillez agréer, avec nos remercîments pour les bons offices que vous rendrez à notre recommandé, l'assurance de la considération distinguée avec laquelle nous avons l'honneur d'être, Messieurs,

Vos très-humbles

et très-obéissants serviteurs, Auguste Delavigne et comp.

Circulaire d'une société en commandite.

Messieurs Hamilton et Cie, à Londres.

Messieurs,

Paris, le 1er mai 1839.

Encouragés par les avantages que présente notre place pour les affaires en commission, nous avons pris la résolution de former un établissement de ce genre, dans lequel monsieur Louis Delacroix à Rouen a pris un intérêt comme commanditaire.

Nous gérerons nos affaires sous la raison de Delamare et Villeneuve.

Conformément au vœu de la loi, nous avons déposé au greffe du tribunal de commerce de cette ville un extrait de notre contrat de société. Par ce contrat, monsieur Delacroix s'est engagé à nous fournir un fonds de quatre cent mille francs.

Ce capital, réuni à celui que nous versons en notre qualité d'associés solidaires, nous paraît suffisant pour que nous puissions nous livrer à la commission dans toute son étendue.

Connaissant les ressources de notre place, nous saurons profiter, dans l'intérêt de nos correspondants, de tous les avantages qu'elles nous présentent. La confiance que nous accordent nos commanditaires doit vous être un sûr garant que nous ne serons pas indignes de la vôtre.

Veuillez prendre note de nos signatures, et agréer l'assurance de notre parfaite estime.

Signature de notre sieur Frédéric Delamare:

Delamare et Villeneuve.

Delamare et Villeneuve.

Signature de notre sieur Jules Villeneuve:

Delamare et Villeneuve.

Circulaire de l'un des commanditaires, supplément à la lettre précédente.

Messieurs Hamilton et Cie, à Londres.

Messieurs,

Rouen, le 10 mai 1839.

J'ai l'honneur de vous confirmer le contenu de la circulaire de messieurs Delamare et Villeneuve, et de vous recommander d'une manière particulière leur établissement, dans lequel je suis intéressé, en qualité de commanditaire pour une somme de quatre cent mille francs, que je leur ai versée.

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