L'oracle des nouveaux philosophes: pour servir de suite et l'eclaircissement aux æuvres de M. de Voltaire ...1759 - 326 頁 |
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Abbé Desfontaines abfurde affez affurer ainfi auffi auroit avez avoient avoit Boffuet C'eft C'eſt Cacouac caufe chofes Chrétiens Chriftianifme Clarke confcience conféquence connoiffance connoître croire culte Déiftes Dieu difciples dire Divinité dogmes Ecrivains efprit Eft-ce eſt éternels êtes étoient étoit facrés fage fageffe fans favoir fciences fens fentimens fentiment feroit fervir feul fiécles fimple fincérité foibles foit folidité fommes font foumis fous foutenir fouvent fuis fuivant fujet fyftème Henriade Hiftoire hommes idées injufte j'ai j'avois jamais Jefus-Chrift jufqu'à jufte juftice l'ame l'efprit l'Eglife l'Hif l'Hiftoire l'Oracle l'Univers laiffe Loi naturelle Loix Loke Louis XIV matiere Meffieurs ment n'eft n'en n'eſt néceffaire Oracle pable paffer paffions Païens penfer perfonne Philofophes plaifir plufieurs préfent préjugés premiere Prince puiffe queftion Raifon refpect refte Religion naturelle réponſe rien Rouffeau s'eft ſes Socrate tems Théurgies tion Trajan Vérité Vertu Voilà Voltaire دو وو
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第 132 頁 - Lisbonne, qui n'est plus, eut-elle plus de vices Que Londres, que Paris, plongés dans les délices? Lisbonne est abîmée, et l'on danse à Paris.
第 210 頁 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
第 34 頁 - Non ; le Dieu qui m'a fait ne m'a point fait en vain: Sur le front des mortels il mit son sceau divin. Je ne puis ignorer ce qu'ordonna mon maître; II m'a donné sa loi, puisqu'il m'a donné l'être.
第 207 頁 - Pièces répréhenfibles , il étoit perfonnellement honnête homme ; & jamais le pinceau d'un honnête homme ne fçut couvrir de couleurs odieufes les traits de la droiture & de la probité.
第 175 頁 - ... homme. Ne pouvant trouver des penfées nouvelles, ils ont cherché des tours nouveaux , & ont parlé fans penfer , comme des gens , qui mâcheraient à vuide , & feraient femblant de manger en périffant d'inanition.
第 106 頁 - Tu veux donc, belle Uranie, Qu'érigé par ton ordre en Lucrèce nouveau. Devant toi, d'une main hardie, Aux superstitions j'arrache le bandeau, Que...
第 34 頁 - D'un bout du monde à l'autre elle parle, elle crie: "Adore un Dieu, sois juste, et chéris ta patrie.
第 128 頁 - Je fuis alfez content de vos moutons , de » vos vaches , & de vos poules ; mais franchement je » ne le fuis pas trop de vos terpens & de vos araignées.
第 271 頁 - ... il faudrait qu'il n'eût ni religion ni patrie; sur ce pied-là, M. de Voltaire marche à grands pas vers la perfection. On ne peut d'abord l'accuser d'être partisan de sa nation, on lui trouve au contraire un tic approchant de la manie des vieillards : les bonnes gens vantent toujours le passé, et sont mécontents du présent.
第 132 頁 - Direz-vous, en voyant cet amas de victimes : « Dieu s'est vengé, leur mort est le prix de leurs crimes?