La pièce du jeune poète de quinze ans se terminait par ces vers : Moi, qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois, lustres à peine ai vu finir le cours. the new monthly magazine - 第 476 頁william harrison ainsworth 著 - 1863完整檢視 - 關於此書
| Oskar Ludwig Bernhard Wolff - 1832 - 706 頁
...jungen beuten »6lli.q an ben Mitteln ju einer anjlanbigen ©ubftftenj fetylte, unb bie Xicbcn= *) Moi, qui toujours fuyant les cités et les cours De trois lustres à peine ai vu finir le cours. **) @. Odes par Victor Hugo. Paris, Ladvocat. 1827. 3 93b« m 16. TI (S. 88. unb ©. 23. . ***) ebenbof.... | |
| Oskar Ludwig Bernhard Wolff - 1832 - 706 頁
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| Brockhaus' konversations-lexikon - 1833 - 998 頁
...ebrenitolle Crrinitmuna. Sie *preiöfcl)rift bíá funijchniaiiri^en Д51ф1ега) fdjioji mit ben aSerfm: Moi qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. 2>if îifabemifer glaubten fi nidit, baf ber Sk'tfaffet nur 10 ЗФ alt unb fügten ftd} beleíbigt;... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1839 - 548 頁
...etLoyson y débutèrent également. La pièce du jeune poète de quinze ans se terminait par ces vers : Moi , qui toujours fuyant les cités et les cours , De trois lustres à peine ai vU finir le cours. Elle parut si remarquable aux juges qu'ils ne purent croire à ces trois lustres , à ces quinze ans... | |
| Louis de Loménie - 1840 - 502 頁
...circonstance assez singulière rapportée par quelques biographes (1). La pièce se terminait par ces vers : Moi qui , toujours fuyant les cités et les cours , De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Or, le ton grave et sérieux du morceau annonçait au moins cinq lustres; la digne Académie s'offensa... | |
| 1840 - 818 頁
...qu'elle eût emporté le prix , sans le soupçon de supercherie que firent naître ces deux vers : Moi qui , toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Les juges ne purent croire qu'une pièce si remarquable fût l'œuvre d'un poète si jeune, et, pour... | |
| Tyrtée Tastet - 1855 - 446 頁
...Loyson y débutèrent également. La pièce du jeune poëte ne quinze ans se terminait par ces vers : Moi, qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Elle parut si remarquable aux juges qu'ils ne purent croire à ces trois lustra, à ces quinze ans... | |
| Tyrtée Tastet - 1855 - 430 頁
...l.oyson y débutèrent également. La pièce du jeune poè'te rte quinze ans se terminait par ces vers : Moi, qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres a peine ai vu finir le cours. Elle parut si remarquable aux juges qu'ils ne purent croire i ces tsois... | |
| Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - 1858 - 492 頁
...l'attention«les juges. Ils l'auraient même couronnée, dit-on , si elle ne s'était terminée par ces vers : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Ces vers, si l'on en croit fe Biographie de Rabbe, parurent une mystification âui académiciens, qui... | |
| 1863 - 520 頁
...constantly displays for his mother. The following extract is a proof of this : Sépari d'une tendre mère, Privé du bonheur de la voir, J'exhale en soupirant...baptismal certificate. The secretary replied, politely, "Je fuirai avec plaisir votre connoissance." Alas, when Victor called, the secretary treated him as... | |
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